Sport - Culture

Agenda

14 février 2017

EXPOSITION ROBERT TOUVENOT

"La vie à grands traits"
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Du 26 novembre 2016 au 15 avril 2017
Musée d’Art & d’Histoire

Entrée libre
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Cette exposition est composée d’œuvres provenant du fond d’atelier de l’artiste, décédé en 2013. L’occasion de découvrir et de redécouvrir le regard de ce peintre lorrain, qui fut aussi professeur de dessin à Toul, à travers une centaine de tableaux et des carnets de croquis.

 

Recensement 2017

 

Exposition d’illustrations jeunesse

5 janvier au 25 février 2017
Exposition du service information & bibliothèque GOETHE-INSTITUT Nancy
Espace jeunesse de la Médiathèque
Entrée libre

Quel Bonheur ! - So ein Glück !

12 célèbres illustrateurs allemands de livres pour enfants ont apporté leur contribution sur le thème du bonheur. A l’initiative de Hanser Verlag, maison d’édition de livres jeunesse, une douzaine d’illustrations ont vu le jour et interpellent les enfants comme les adultes.

Des dessins qui illustrent bien la difficulté d’une réponse claire à la question "Qu’est-ce que le bonheur ? ".

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Je suis un artiste

Le Musée d’Art et d’Histoire de Toul propose aux enfants âgés de 6 à 12 ans des ateliers pédagogiques de création manuelle pendant les vacances de février.
Sur réservation au 03.83.64.13.38
Tarif 3€/séance

  • En pleine lumière : les vitraux -
    A l’aide de peinture spéciale, les enfants apprendront à jouer avec la lumière en réalisant leur propre vitrail.
    Mercredi 15 février 2017 de 14h30 à 16h30,
    Mercredi 22 février 2017 de 14h30 à 16h30
  • Le Clair-obscur -
    Pratique artistique mettant en avant les effets de l’ombre et de la lumière, la technique du clair-obscur consiste à réaliser des gradations de couleurs sombres sur des supports clairs.
    Jeudi 16 février 2017 de 14h30 à 16h30,
    Jeudi 23 février 2017 de 14h30 à 16h30
  • Un cadavre exquis ou l’art en commun -
    Jeu collectif inventé par les surréalistes vers 1925, le cadavre exquis consiste à faire composer un dessin par plusieurs personnes sans qu’aucune ne puisse tenir compte de ce qu’on fait les autres !
    Vendredi 17 février 2017 de 14h30 à 16h30,
    Vendredi 24 février 2017 de 14h30 à 16h30
 

Les vacances d’hiver au Centre Socio-Culturel

Le Centre Socio-Culturel a concocté pour les vacances d’hiver un programme ouvert à toute la famille.

  • Des ateliers et sorties pour se rencontrer, échanger, découvrir et partager.
    Le programme :
    PDF - 2.6 Mo
  • L’Accueil Collectif de Mineurs (ACM) ouvert aux enfants à partir de 3 ans jusque 14 ans, sur inscription au 03.83.65.21.50
  • Et pour les ados un programme sur mesure :
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programme familial

 

Passez le BAFA avec le Centre Socio-Culturel

Vous avez 17 ans au minimum et vous souhaitez passer le BAFA ?
Le Centre Socio-Culturel site Michel Dinet donne la possibilité de passer le BAFA à 12 jeunes de la ville.
Infos au 03.83.65.21.57 ou centre.socioculturel@mairie-toul.fr

 

Stage Vacances février 2017 - MJC DE TOUL

MJC DE TOUL


STAGE BD, MANGAS

Dessiner un animal de façon réaliste, puis faire évoluer cette représentation dans l’esprit BD Mangas au gré de l’imagination de l’artiste.

Tout Public à partir de 6 ans
90 € le stage
Réservation obligatoire avant le 01/02/2017

 

Gala de boxe - Salle de l’Arsenal

Samedi 25 mars 2017 de 18h à 23h
Salle de l’Arsenal

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• 13 combats toutes catégories
• Avec la participation des boxeurs Toulois :
Olivia Arnould / Baptiste Beaumont / Dylan Fontaine / Quentin Fontaine / Océane Gasser / Joffrey Machet
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Organisé par le Club "Noble Art Toulois" en partenariat avec la Ville de Toul
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Billetterie :
Mairie - Service des Sports (vendredis après-midi)
Monik Coiffure, Salle Lafontaine
Plus d’infos : 06 11 70 22 65
Tarifs : Ring 10€ / Gradins 5€

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STAGE DE GUITARE ELECTRIQUE - MJC DE TOUL

MJC DE TOUL


IMPROS, BLUES, ROCK.....

Avec Julien ROSENTHAL

60€ le stage

Inscription avant le 01/02/2017
Réservation au 03 83 64 31 15 ou contact@mjc-toul.fr

 

Soirée spéciale Saint Valentin

Soirée spéciale Saint Valentin le 14 février à 19h
Centre Culturel Vauban

La compagnie du Sens Caché vous propose pour cette soirée un apéritif dinatoire spécialement conçu pour les amoureux suivit du spectacle S., dans ce spectacle L’exploration des sens est de mise, alors que les parfums et dégustations plongent le spectateur dans une ambiance apaisante et stimulante.
La comédienne et la musicienne nous invitent à venir à la rencontre de
leurs personnages, révélant leurs désirs, leurs tourments et leurs pulsions.
« S. » est un ballet érotique et humoristique où nul n’est victime ou bourreau. Peut-être le désir, seul, nous mène-t-il à chavirer entre ces deux rôles, dans une danse insatiable."

Une soirée romantico-érotique vous promettant une belle nuit.

A partir de 16 ans
Tarif 15 euros/12 euros tout compris ( amuses-bouche, un verre de vin et spectacle)
Réservations à compagniedusenscache@gmail.com ou au 06.64.85.84.13

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L’essor de l’art du portrait en France et en Lorraine à l’époque romantique (1815-1848) Par Norbert de Beaulieu - Salle des Adjudications (cour de la mairie de Toul)

Cercle d’Etudes Locales du Toulois


A l’époque de la peinture figurative, il existait plusieurs "genres" : la peinture d’Histoire, le paysage, la nature morte et le portrait. Celui-ci, d’abord considéré comme un genre mineur, connut un âge d’or au cours des "années romantiques". Les statistiques des Salons parisiens en témoignent:entre 1814 et 1844, la proportion des portraits exposés est passée de 8% à 32% !

Ce phénomène s’explique d’une part par un désir croissant de détenir et de transmettre un souvenir de soi, mais aussi par un nouvel état d’esprit, apparu en force après les guerres napoléoniennes : à la suite de la Révolution et de l’Empire, toutes les classes de la nouvelle société aspiraient d’abord à un apaisement, et rêvaient de trouver un refuge au sein de la Nature, comme l’avait déjà conseillé Rousseau, mais aussi dans le cercle familial. Jamais on n’avait accordé autant de place à l’expression de la sensibilité.

Ces éléments se retrouvent donc dans les portraits individuels ou de groupe, dans les très nombreux portraits d’enfants et aussi dans l’arrière-plan de ces tableaux, qui n’est jamais anodin et mérite que l’on s’y attarde. Le portrait romantique n’est plus un portrait d’apparat, mais un portrait profondément humain, un instant de vie. Les peintres, imprégnés de lectures, de musique et de théâtre, aspiraient à la perfection, mais aussi à la poésie et s’efforçaient de scruter et de restituer l’âme de leurs modèles. La mélancolie était dans l’air du temps ; elle est perceptible dans la plupart des portraits (surtout féminins) de ces trois décennies, dont la charge affective ne peut laisser indifférent.

Mais chaque portrait est aussi un précieux document pour les historiens et les historiens de la mode. Que serait un livre d’Histoire, une biographie sans portraits ? Grâce aux détails vestimentaires et aux accessoires minutieusement et magistralement rendus par les crayons ou les pinceaux, une datation très précise des œuvres est possible. L’apparition de la "coiffure à la girafe", en 1827, celle des "manches à gigot" et de la silhouette féminine "en sablier" des années 1830 ne manqueront pas de nous faire sourire aujourd’hui, mais elles étaient prises très au sérieux par les élégantes de l’époque, et ce dans toute l’Europe, car Paris donnait le ton ! Et ces toilettes ont en fait beaucoup de charme et de raffinement. Nous ferons donc un voyage chronologique dans le temps, entre le Ier Empire et la fin de la Monarchie de Juillet, en suivant l’évolution de la mode.

Les grands ateliers de formation étaient à Paris et accueillaient de nombreux jeunes peintres venus de province et de l’étranger. Seuls les meilleurs d’entre eux avaient le privilège de suivre les cours des maîtres. L’Ecole des miniaturistes lorrains, autour de Jean-Baptiste Isabey, est certes bien connue. Mais de nombreux portraitistes d’origine lorraine ont également fait leurs preuves dans les portraits de grand format : ils furent très appréciés non seulement dans la capitale, mais aussi par une clientèle étrangère, comme à Londres pour le Nancéien André Léon Larue dit Mansion ou à la Nouvelle-Orléans pour Jean-Joseph Vaudechamp, élève de Girodet né à Rambervillers...
Il est tout à fait plausible de parler d’une "autre Ecole de Nancy", antérieure à celle que nous connaissons, et d’en réhabiliter les membres éminents, parmi lesquels des femmes ! Ce sera l’objet de cette conférence.

 

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